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Comment ne pas être fasciné par l’or, qu’il se trouve dans les décorations des palais ou des églises, dans les bijoux ou sur les cadres précieux des peintures des musées ?
Quelques simples milligrammes de poudre d’or glissés du sachet acheté dans une boutique de Venise ( la poudre d’or est une spécialité vénitienne ) et délicatement étalés sur la paume, le dos de la main ou sur la paupière, nous font retrouver l'émerveillement de l'enfance.
La recette de Guidi pour les quelques « feux d’artifice » ou petites lunes de la période « vénitienne » de notre vie ( des années 80 au début des années 90 ) m'est hélas inconnue. Mon principe était de ne jamais le déranger en plein travail. Le mystère perdurera donc...
Ces quelques œuvres trouvent leur originalité par l’emploi volontairement non spectaculaire ni« décoratif » de cette poudre d’or qui ne leur en apporte pas moins une touche luxueuse dans sa simplicité. Aucun « tape-à-l’œil »: juste un peu plus de lumière…
Lune blanche dans un ciel d'or
